CHEVAL APPALOOSA
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 LES MALADIES DU CHEVAL

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MessageSujet: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 0:57

Je propose un post ici, qui serait placé en post it, comme un dictionnaire médicale, ça permettrait à chacun d'aller y jeter un œil au besoin et d'en parler ensuite !

TEMPÉRATURE ET RYTHME CARDIAQUE:
Valeurs normales au repos :
• Fréquence cardiaque : 28/40 battements/minute
• Respiration : 8-16 mouvements par minute
• Température rectale : 37-38 C°


LES MALADIES VIRALES :
Les maladies virales sont causées par le contact de l’organisme avec un virus.
Ces maladies peuvent être évitée par un vaccin

La Grippe Equine
Très répandue dans le monde.
Symptômes :
Hyperthermie (40° et plus) et abattement intense. Guérison en 10-15 jours. Forte contagiosité.
Comment l’éviter ?
Vaccination tous les 6 mois après la primo vaccination (2 injections à 30 jours d’intervalle.).
La vaccination est obligatoire sur les compétitions et recommandée partout.

La Rhinopneumonie
Cette maladie connaît une recrudescence importante chez nous depuis 2 ans.
La cause majeure est probablement le prix élevé du vaccin, écarté par souci d’économie...
La maladie est due à un virus du type Herpès, c’est-à-dire qui ne quitte jamais l’organisme une fois qu’il l’a investi.
Symptômes :
Il existe trois formes de rhinopneumonie :
- Forme respiratoire :
Ressemble à la grippe équine, avec toux et jetage par les naseaux.
Les symptômes régressent en 10-15 jours mais la rémission complète demande plusieurs semaines.
- Forme abortive :
Chez les jument gestantes, l’avortement survient durant la 2e moitié de la gestation.
Le diagnostic peut être établi sur l’observation de certaines lésions des voies respiratoires de la jument ou par l’examen de l’avorton.
- Forme nerveuse :
C’est la forme la plus grave et c’est une complication des formes précédentes.
On observe d’abord une paralysie du train postérieur qui peut soit s’estomper, soit progresser et provoquer une paralysie respiratoire qui peut entraîner la mort.
Comment l’éviter ?
Les vaccins actuels tendent surtout à prévenir la rhinopneumonie abortive (2 injections à 30 jours d’intervalle, suivies de rappels réguliers, fréquence selon fabriquant).
La protection contre la forme respiratoire est difficile, d’où l’intérêt de cumuler le vaccin contre la rhinopneumonie avec un vaccin contre la grippe équine.

La Rage
La rage est une maladie qui concerne tous les mammifères, l’homme y compris.
Cette omniprésence potentielle est un facteur facilitant grandement la circulation du virus de la rage... quand il existe. Chez nous, il est, parait-il éradiqué.
Le risque demeure toutefois, surtout en Ardenne (renard), où le vaccin est conseillé pour tous les chevaux.
Symptômes :
Contamination par morsure.
Le cheval devient très excitable et indocile, il s’en suit des spasmes musculaires, une paralysie du train postérieur et un arrêt de l’alimentation.
La rage est régulièrement mortelle, d’où l’extrême prudence à observer en cas de suspicion de rage.
Comment l’éviter ?
Vaccination. Primo-vaccination dès l’âge de 6 mois, suivie d’un rappel annuel.

La Peste Equine
En principe, la peste équine est inconnue chez nous ; elle existe en Espagne, au Portugal et en Afrique du Sud.
Symptômes :
Il existe deux formes principales, toutes deux mortelles.
- Forme suraiguë (“pulmonaire”).
Hyperthermie (40-41°), augmentation du rythme respiratoire. Mort en 4 à 6 heures.
- Forme aiguë (“cardiaque”)
Température ondulante, muqueuses rouges, larmoiement. Respiration accélérée, affaiblissement des battements cardiaques. Toux, jetage mousseux. Salières gonflée. mort dans 90 % des cas.
La maladie peut combiner les deux formes. La transmission du virus se fait par inoculation, (contact avec le sang).
Les insectes qui se nourrissent de sang (moustique, taon) jouent un rôle important dans la transmission du virus.
Comment l’éviter ?
Pas de panique, chez nous, la peste équine n’existe pas, mais l’importation de chevaux en provenance de régions infectées pourrait amener le virus dans nos contrées. Autrefois sévères, on peut se demander ce que deviennent les contrôles aux frontières... En cas de doute, l’animal est mis en quarantaine et examiné.
Il existe un vaccin efficace, utilisé dans les régions infectées, mais qui n’est pas utile chez nous.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 0:58

LES MALADIES MICROBIENNES ET MYCOSIQUES :

Les maladies microbiennes et mycosiques sont causées par le contact de l’organisme avec une bactérie ou un champignon. Certaines de ces maladies peuvent être évitée par un vaccin

La Gourme
C’est l’angine du cheval. Cette maladie est causée par une bactérie appelée “streptocoque”.
Les jeunes chevaux l’attrapent plus facilement que les autres et s’en remettent également plus facilement que les vieux.
Symptômes :
L’appétit fait défaut. Température (39,5 à 41°). Un jetage purulent s’écoule par les naseaux, d’abord blanc, puis vert (présence de pus). Le pharynx et le larynx sont enflammés. Toux douloureuse. Au bout d’un certain temps (6 jours à 3 semaines) et en l’absence de soins, des abcès apparaissent dans le système lymphatique (ganglions), dans la région de la gorge. Plus tard, les ganglions percent, la fièvre tombe et le cheval guérit.. Complications possibles : abcès pulmonaires ou abdominaux. Le diagnostic s’établit avec certitude par analyse laboratoire du jetage.
Comment l’éviter ?
Bien que pénible et spectaculaire (drainage des abcès), l’affection n’est pas trop grave et les chevaux guérissent généralement bien. Il n’existe pas de vaccin dans le commerce, mais on peut toujours faire fabriquer un “autovaccin” dans une université de médecine vétérinaire. La surpopulation et le manque d’hygiène général sont des facteurs qui favorisent l’apparition de la maladie. Il convient d’isoler les individus atteints et de bien désinfecter l’écurie et le matériel de soin et de pansage. Les jetages peuvent se retrouver n’importe où et contaminer un autre cheval.
Traitement par antibiotiques adaptés.

Le Tétanos
Maladie redoutable causée par un germe : le Clostridium Tetani, qui se développe à l’abri de l’oxygène, notamment dans la terre et le sable (piste), mais aussi dans les blessures externes profondes ou internes, causées par l’ingestion d’une épine ou d’une écharde.
Symptômes :
Spasmes musculaires, saillie de la 3e paupière lorsque l’on touche la tête (chanfrein ou bas de la mâchoire), expression d’anxiété, raidissement progressif des membres, alimentation difficile, température, sueur. Le sujet meurt de paralysie respiratoire ou de broncho-pneumonie due à une “fausse route” des aliments.
Comment l’éviter ?
Etant donné la grande fréquence du bacille causant le tétanos, le vaccin apparaît comme indispensable, tout comme chez l’homme d’ailleurs. Le premier vaccin est en réalité un rappel que l’on fait à la jument avant la naissance du poulain, de sorte que le colostrum (premier lait chargé d’anticorps) qu’il ingurgitera dès qu’il sera debout le protégera avant son premier sérum antitétanique, à l’âge de 1 jour, son premier vaccin à l’âge de 3 mois. Ensuite, rappel tous les ans et lors de blessure.

La Leptospirose
Cette affection est très répandue chez nous. Elle est généralement véhiculée par les rongeurs (souris, rats), qui la communiquent eux-mêmes à l’eau par leur urine. C’est donc principalement l’eau qui amène la maladie au cheval. Les leptospires s’installent dans le foie et dans les reins. Le cheval est naturellement résistant aux leptospires. Le plus souvent, il montre des signes passagers de méforme.
Symptômes :
Fièvre, dépression, anorexie, urine peu abondante et brune, diarrhées, constipation, douleurs musculaires.
La maladie peut également adopter un forme aiguë (rare, mortelle), et une forme chronique (états fébriles répétés, amaigrissement, avortement, inflammation de l’oeil).
Comment l’éviter ?
Il existe un vaccin, mais il n’est pas adapté au cheval (c’est le même que pour les chiens). Il n’est donc pas très efficace. La précaution peut quand même s’avérer utile pour protéger les autres individus d’un groupe dans le cas où l’un d’eux serait atteint. Sinon, la première mesure de prévention est de combattre la présence des petits animaux porteurs dans les écuries : pièges, etc. La seconde consiste à étudier les lieux, notamment la prairie, afin de voir si des égouts ne s’y déversent pas (points d’eau où s’abreuvent les chevaux), si le terrain n’est pas trop humide (un drainage peut s’avérer nécessaire), ou s’il ne voisine pas une fosse septique ou une zone agricole avec épandage intempestif.

La Morve
En principe, n’existe plus en Europe. La morve est une affection d’origine bactérienne et atteint le système respiratoire
Symptômes :
Il existe une forme aiguë (broncho-pneumonie foudroyante) avec toux, fièvre et inflammations des ganglions ; et une forme chronique : jetage purulent, perte importante de poids, fièvre.
Comment l’éviter ?
Éviter le contact avec les animaux malades et la consommation d’eau ou de nourriture en contact direct avec des chevaux malades.

La Piroplasmose
C’est la Malaria du cheval. On ne la rencontre donc pas directement chez nous, mais bien dans la moitié sud de la France et tout le bassin méditerranéen. La transmission est assurée par diverses espèces de moustiques et surtout de tiques qui vivent dans les haies et les bois, et transmettent au sang un protozoaire, animal microscopique, parasite du globule rouge et provoquant l’anémie.
Symptômes :
Fièvre, dépression, inappétence, amaigrissement, muqueuses pâles ou jaunes, œdèmes, coliques, et coloration brune des urines.
Comment l’éviter ?
Pas de vaccin. Destruction des biotopes favorables aux tiques dans le voisinage du cheval.
Inspection du cheval et traitement préventif aux agents anti-acariens.
Elles peuvent être respiratoires ou cutanées. Elles dépendent beaucoup de l’individu et sont donc difficilement prévisibles. La qualité de l’environnement y est souvent pour beaucoup. La lutte contre les allergies en est encore aux balbutiements pour le cheval. Il s’agit des auto-vaccins, conçus sur mesure, pour les besoins du cheval. C’est très onéreux et les résultats sont relatifs.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 0:58

LES MALADIES RESPIRATOIRES :

L’Hémiplégie laryngée
Plus connue sous le nom de “Cornage”, cette affection se caractérise par une paralysie de la partie gauche du larynx (cordes vocales). Cette paralysie entraîne en affaissement de cette partie du larynx et de la corde vocale correspondante qui vibre bruyamment et involontairement au passage de l’air, et surtout, obture partiellement la trachée.
Symptômes :
Selon le cas, le système respiratoire émet des sifflement ou des ronflements quand il est plus ou moins sollicité. La capacité respiratoire est limitée, les performances du cheval s’en ressentent.
Comment l’éviter ?
Plusieurs causes peuvent être à l’origine du cornage : une complication laryngée de la gourme ou de la grippe ; un surdéveloppement de l’artère aorte dû à l’entraînement sportif peut léser le nerf du larynx ; l’injection intraveineuse manquée peut aussi provoquer des lésion à ce nerf ; ainsi qu’une prédisposition héréditaire.
Seule la chirurgie peut améliorer les choses en agrandissant l’ouverture laryngée. Lorsqu’un cheval ”corneur” est atteint de gourme ou d’urticaire, il est parfois nécessaire de recourir à la trachéotomie si, étant au repos, l’équidé a du mal à respirer.

La Bronchite
Cette affection atteint les bronches. Lorsque qu’un agent nocif s’immisce dans ses poumons, ceux-ci produisent du mucus pour isoler l’élément indésirable et le cheval tousse pour se débarrasser de cet excès de sécrétions qui encombrent les bronches.
Symptômes
Toux. Le cheval s’essouffle plus vite et récupère plus difficilement. La bronchite seule peut être causée par des agents externes très divers. Ce qu’il faut surtout savoir, c’est qu’une fois installée, l’affection respiratoire rend le cheval beaucoup plus sensible aux virus et bactéries : grippe, rhinopneumonie, etc.
Comment l’éviter ?L’environnement joue une grande part dans tous les problèmes respiratoires.
Quand un cheval commence à tousser il convient de remédier d’abord à tous les facteurs susceptibles de provoquer cette toux : foin de mauvaise qualité, box mal situé, etc. Etant donné l’augmentation de l’exposition à d’autres maladies virales ou microbiennes, la mise à jour des vaccins (rappels) est doublement utile. Certains détails anodins peuvent favoriser l’apparition de cette affection, comme changer la litière en présence du cheval ou panser ce dernier dans son box (poussière) !

La Bronchite C.O.P.D. (chronic obstructive pulmonary disease)
Il s’agit d’une bronchite qui ne cesse pas. L’allergie en est le plus souvent la cause.
Symptômes
Quintes de toux. Le cheval respire plus du ventre que de la partie antérieure des poumons (car près des bronches, c’est douloureux). L’effort sportif devient impossible.
Comment l’éviter ?
Il aurait fallu intervenir plus tôt en modifiant l’hygiène de vie du cheval en cherchant surtout à améliorer la qualité de l’air respiré. En l’absence d’alternative immédiate, la mise au pré est une solution. La qualité du foin et de la paille, notamment à l’heure actuelle, est à surveiller étroitement (voir aussi allergies).

L’Emphysème pulmonaire
C’est le stade ultime, la ruine des poumons...
Les alvéoles pulmonaires ont subi des lésions irréversibles.

Hémorragie pulmonaire induite par l’effort
Cette affection très fréquente est due à l’effort sportif trop important demandé au cheval. Très fréquente chez le cheval de course, l’hémorragie se produit au niveau de la fine cloison alvéolaire (là où le sang entre en contact avec l’oxygène respiré), par éclatement de vaisseaux sanguins capillaires. Le sang se retrouve alors dans les poumons, parfois en très faible quantité.
Symptômes
Présence de sang dans la trachée et/ou dans les naseaux. Réflexe de déglutition et toux. On observe généralement une diminution des performances au moment de l’hémorragie (due à une diminution de la capacité respiratoire), surtout chez les chevaux de course, et, dans une moindre mesure, chez les chevaux de manège. Souvent, le cheval baisse l’encolure et essaye de tousser pour expulser ce sang qui le gène. Cette affection laisse généralement des séquelles mais celles-ci sont souvent compatibles avec l’usage normal d’un cheval de selle qui ne fait pas de compétition.
Comment l’éviter ?
Un entraînement adapté et progressif, sans chercher à obtenir des performances très intenses et de longue durée, est le meilleur moyen d’éviter cette maladie.

N.B. : Les maladies respiratoires ne se classent pas facilement car elles sont toutes liées entre elles.
Par exemple, une bête grippe peut se terminer en emphysème avec hémorragie pulmonaire.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 0:59

LES MALADIES DE L'APPAREIL NUTRITIONNEL ET DIGESTIF :

Les parasites internes
Il s’agit des différents vers et larves qui s’installent dans le tube digestif (ou ailleurs), après avoir été absorbés sous forme d’oeuf, par le cheval, et qui se nourrissent de sang (strongles, tenia, etc.), et occasionnent des lésions à l’intestin, à l’estomac et au foie.
Symptômes
Selon le type de parasites : abattement, maigreur, poil piqué, diarrhées (parfois sanglantes), coliques, oeufs ou larves dans le crottin, oeufs collés sur les poils de la robe, ulcération et perforation de l’intestin et de l’estomac.
Comment les éviter ?
Vermifugation (ingestion d’un produit tuant les larves et les vers), plus ou moins importante (de 2 à 6 fois par an) selon l’état du cheval et son environnement.
En prairie, étant donné l’aspect cyclique du phénomène (ingestion de l’oeuf par la bouche, développement de la larve dans le ventre et expulsion de nouveaux oeufs dans le crottin, risquant à leur tour d’être absorbé par le cheval), un assainissement et une rotation des pâtures peuvent s’avérer très utile : épandage de chaux, hersage, drainage éventuel.
Pour décoller les oeufs de mouche sur les poils : utilisez du vinaigre chaud et un peigne. (voir aussi coliques)

Troubles hépatiques
Les troubles du foies sont plus rares chez les chevaux de loisir.
Les chevaux de compétition, par contre, y sont davantage exposés à cause de l’usage fréquent (et l’abus) de différentes substances "dynamisantes" telles les vitamines et autres produits "miracle" censés améliorer les performances.
On raconte beaucoup de choses à propos des coliques. Le terme désigne en fait une douleur violente d’origine abdominale, quelle qu’en soit la cause. Certaines n’ont pas pour origine un trouble digestif. C’est le cas des coliques ovariennes chez la jument, et aussi des coliques urinaires, qui concernent la vessie ou les reins. Mais il s’agit le plus souvent de coliques digestives causées, pour 80 % d’entre elles, par des erreurs alimentaires : la nourriture n’est pas de bonne qualité ou est avariée ; l’animal mange mal, soit parce qu’il est stressé, soit parce que sa table dentaire n’est plus en état.

On ne le répétera jamais assez :
- accordez au cheval tout le calme nécessaire à son repas
- fractionnez la ration journalière en plusieurs petites rations
- le fourrage se donne avant l’eau, et l’eau avant le grain

Les coliques
Au niveau digestif, on distingue trois sortes de coliques :
les coliques mécaniques (ou d’obstruction), c’est à dire liées à la présentation des aliments et à leur réaction mécanique dans le tube digestif. L’aliment, de part sa nature ou du fait qu’il n’est pas mélangé à une substance le rendant plus digeste, “accroche” au lieu de glisser, ou bien il gonfle en s’imbibant d’eau, de salive et de suc (pulpes de betterave, notamment), ce qui provoque une obstruction, un “bouchon”.
C’est l’indigestion du cheval.
les coliques par dysmicrobisme (ou chimiques), c’est-à-dire par dysfonctionnement de la digestion proprement dite : l’aliment n’est pas digéré (transformé) comme il le devrait et il provoque dilatations, surcroîts d’acidité, ralentissements (voire arrêt) du transit, gonflements, spasmes, congestion, obstruction...
les coliques dites “chirurgicales”, c’est-à-dire dues à une torsion accidentelle du viscère, un retournement d’estomac, un éclatement...
Ce type de coliques peut être la conséquence des deux précédentes.

On peut aussi classer les coliques en :
colique gastrique (au niveau de l’estomac),
colique intestinale (au niveau de l’intestin).

D’autres coliques peuvent être causées
par un abreuvement inadapté, soit trop rare (l’aliment est alors trop sec), soit trop froid et trop rapide (congestion de l’estomac) quand le cheval est “chaud”, juste après l’effort
par des parasites : les larves sont avalées avec l’herbe, ensuite elles circulent dans le corps selon un itinéraire propre à l’espèce avant de s'installer dans les intestins, oùdeviennent adultes et pondent. Les oeufs sont éliminés avec le crottin et éclosent dans l’herbe où le cheval les ingurgitent à nouveau.
par une production de gaz qui ne trouvent pas la “sortie” (le cheval ne peut ni vomir, ni éructer)
par l’utilisation de certains antibiotiques contre-indiqués pour le traitement des chevaux ou le traitement de la nourriture elle-même (l’aliment doit être prévu pour nourrir un cheval et non une vache ou un autre animal...).
En effet, le cheval ne supporte pas certaines sortes d’antibiotiques tolérés par d’autres espèces.
Et comme certains aliments sont traités aux antibiotiques...

Symptômes
Le cheval a très mal au ventre, il observe ses flancs, se campe, se couche avec précaution. Dans les cas plus graves, le rythme cardiaque augmente jusqu’à 60-100 pulsations/minute. La vie du cheval est alors en danger.
Comment les éviter ?
Eviter l’abreuvement après l’ingestion de concentrés (grain, granulés, etc.).
Ne pas nourrir le cheval uniquement avec des concentrés ; donnez-lui aussi du fourrage ou tout autre “lest” alimentaire qui forme un volume suffisant dans le tube digestif.
Ne changez pas trop brutalement de régime alimentaire. En cas de mise au pré, créez une parcelle réduite dans la prairie de manière à endiguer une éventuelle boulimie, et allez-y progressivement : 1h le premier jour, 2-3h le jour suivant, etc., tout en diminuant la proportion de concentrés.
Laissez-le manger calmement et faites inspecter sa table dentaire de temps en temps par le vétérinaire qui la rectifiera au besoin.
Que faire ?
Supprimez toute eau et nourriture. Appelez le vétérinaire en lui communiquant rythme cardiaque et température, promenez le cheval s’il marche facilement. Empêchez-le de se rouler.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 1:00

LES TROUBLES LOCOMOTEURS :

Le syndrome naviculaire
Le syndrome naviculaire est une des causes les plus fréquentes de boiterie chez les chevaux de demi-sang. La maladie atteint les individus entre 4 et 15 ans, parfois plus jeunes. Toutes les races de chevaux sont touchées, même les Quarter-horses et les poneys. (On pensait qu’ils échappaient à cette affection).

Pourquoi faut-il parler du syndrome naviculaire plutôt que de la maladie naviculaire ?
Parce qu’au stade actuel de la recherche, on distingue trois types d’affections naviculaires. Au point de vue diagnostic, il s’agit de boiteries chroniques bilatérales apparaissant progressivement et répondant au test de l’anesthésie du nerf digité (on endort le nerf et le cheval ne boite plus :
a) la forme articulaire : comme son nom l’indique, elle concerne la partie articulaire de l’os naviculaire. Ce type concerne quasi 70 % des boiteries de type "naviculaire". (voir croquis ci-dessous)
b) La forme tendineuse : elle concerne la partie de l’os en contact avec le tendon perforant.
c) la forme ligamentaire : nous observons une production osseuse sur le site d’insertion des ligaments qui soutiennent l’os naviculaire.

Le diagnostic repose sur :
- des examens et tests cliniques ;
- des anesthésiés loco-régionales ;
- une radiographie du pied.

Que peut-on faire en présence d’un cheval dit "naviculaire" ?
Quelle que soit la forme de la maladie, une ferrure rétablissant l’équilibre bio-mécanique sera indiquée.
Elle sera surtout efficace pour la forme articulaire qui représente heureusement la majorité des cas d’affections naviculaires.

On distingue trois types de ferrures orthopédiques :
a) l’Equi+, développé à la Faculté de Médecine Vétérinaire de l’Université de Liège. Le fer Equi+ est indiqué dans toutes les formes articulaires de la maladie (voir photo en haut à droite) ;
b) le fer en oeuf ;
c) le fer à traverse ou dit d’Alasonnière transformé.

Quand une rupture de l’axe "paturon-pied" (absence de talon) se présente, des talons relevés améliorent l’équilibre, et dans tous les cas on ne saurait trop conseiller le relèvement en bateau du fer, favorisant ainsi la bascule antérieure du pied, ce qui allège le travail du tendon perforant sur l’os naviculaire.

On peut recommander
les anti-inflammatoires non stéroïdiens :
• ils diminuent la douleur et combattent l’inflammation ;
• ils ralentissent l’évolution de la maladie ;
• il permettent la poursuite d’un travail léger.
les vasodilatateurs périphériques dont le principe actif, l’isoxupprine favorise la circulation sanguine dans la région des lésions.
Dans les formes articulaires, on peut administrer différents médicaments indiqués en cas d’arthrose, comme par exemple les extraits de synovie ou de cartilage.

Ces médicaments soulagent mais ne guérissent pas ! Une fois l’os remanié, il le reste.
Le but est d’arrêter la dégénérescence de l’os naviculaire et de soulager la douleur.
Un cheval stabilisé dans l’évolution de la maladie peut le rester pendant des années.

Peut-on éviter la maladie naviculaire ?
Tout dépend du "management" du cheval, et cela depuis son plus jeune âge jusqu’au moment où il travaille.
La recette sacrée : un travail régulier et modéré !
Mais aussi :
• Veiller à l’équilibre des rations alimentaires en calcium et phosphore.
• Vérifier les aplombs et le parage : si des anomalies d’allures ou d’aplombs sont constatées, il faut s’interroger sur la façon optimale de parer le pied. Une légère modification du parage entraîne des contraintes importantes au niveau des articulations.
• Sauf les pieds cassants, on ferrera les jeunes chevaux le plus tard possible. Pourquoi ? Vu sa constitution morphologique, le cheval est conçu pour marcher en ligne droite. Sur un terrain inégal ou quand il trourne, les articulations permettent une déformation de quelques degrés (max. 5°). L’adaptation aux inégalités et aux mouvements se fait grâce à la déformation de la boîte cornée (le pied, dans sa partie, arrière, est fendu et souple). Le ferrage bloque 80 % de la possibilité d’adaptation au terrain. Un mauvais parage peut encore réduire cette possibilité de rotation.
• Le style de travail : Éviter tout trauma violent et répété sur un cheval non échauffé, faire sauter de manière modérée.
Seul un cheval entraîné, un sportif, peut fournir un effort. Si un cheval est fatigué, les structures ligamentaires tendineuses et ostéo-articulaires sont particulièrement sollicitées. La condition physique du cheval est essentielle ; seul un entraînement régulier permet un travail de longue haleine sans fatigue !

L’Arthrose
Le squelette du cheval souffre surtout aux articulations.
Et parmi ces articulations, celles du bas des membres sont évidemment les plus exposées : boulet, jarret, genou, épaule.
Chaque articulation est formée de deux os distincts (ou davantage). Chaque os est terminé par un cartilage et est séparé de l’autre par une poche contenant un liquide lubrifiant : la synovie. Les os sont maintenus l’un contre l’autre par des tissus mous : les ligaments. L’arthrose est une déformation progressive des articulations au niveau de l’os proprement dit. Cette déformation est due, soit à un défaut d’aplomb congénital qui n’a pas été corrigé chez le poulain, soit à une utilisation trop précoce ou inadéquate du cheval. En effet, les os et les articulations sont conçus pour supporter au mieux toutes les forces, pressions et torsions encourues par le squelette du cheval en les répartissant harmonieusement sur tous les os et sur toutes les parties de ceux-ci.

Sur un cheval au modèle défectueux, panard ou cagneux par exemple, la non-rectitude des membres aura deux effets :
- sur l’articulation : la surface de contact entre les deux os sera réduite et la pression mal répartie. Conséquence : usure précoce des cartilages et dégénérescence osseuse.
- sur l’os : la charge ne sera pas répartie de manière harmonieuse ; on “force” sur l’os, celui-ci se déforme et développe un “suros”, c’est-à-dire une excroissance susceptible de frotter contre les tendons ou les ligaments.

Symptômes
Douleur, boiterie, bruit articulaire, déformation osseuse visible. L’éparvin, notamment, est une de ces déformations.
Comment l’éviter ?
Quand le poulain est jeune, il faut bien surveiller ses pieds et ses aplombs, les corriger éventuellement avec l’aide du maréchal ferrant lors du parage.
Plus le cheval est jeune, plus il est aisé de corriger une malformation.
Plus il travaille jeune, plus ses articulations sont exposées à ces déformations.

L’Ostéo-chondrite dissécante (O.C.D.)
C’est la fragilisation des cartilages qui se craquellent et partent en petits éclats. Ces éclats voyagent dans l’espace intra-articulaire et occasionnent des dégâts. Cette maladie - de plus en plus fréquente selon le Dr Lamolle - est due à la nature même du cartilage qui s’altère, non par érosion ni par déformation osseuse, mais par dégénérescence.
Symptômes
Douleur aiguë et fugace, boiterie parfois intermittente (le petit bout de cartilage voyage...)
Comment l’éviter ?
La qualité et surtout l’équilibre de l’alimentation entre pour une grande part dans l’apparition de l’O.C.D. : l’excès énergétique et l’excès de calcium associé à la vitamine D, fragilise le cartilage et le rend cassant.
L’aspect génétique n’est pas à négliger : ces tendances peuvent être héréditaires. Le travail inadapté en est également responsable. Les lésions ne sont pas nécessairement irréversibles, mais une opération peut s’avérer nécessaire pour évacuer le petit morceau de cartilage de l’articulation.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 25 Déc - 1:00

CAS A PART :
La Myopathie atypique des équidés
Qu'est-ce que la Myopathie atypique (MA) ?

La myopathie atypique (MA), encore appelée myoglobinurie atypique des chevaux au pré, est une maladie généralement fatale se caractérisant par une dégénérescence sévère de différents groupes musculaires, dont les muscles intervenant dans la respiration, la posture, ou encore le muscle cardiaque. La MA frappe les équidés de toute espèce (chevaux de trait, de selle, poneys et ânes) séjournant en pâture la majeure partie de la journée au printemps et en automne. La MA n'est pas une maladie contagieuse mais plusieurs chevaux pâturant sur la même prairie peuvent être touchés. La MA est reconnue depuis 1984 mais, jusqu'à l'automne 2000, la Belgique avait peu rencontré ce syndrome.

Quels sont les facteurs de risque ?

La MA concerne les chevaux pâturant dans des conditions environnementales particulières (prairie souvent en pente, arbres, etc.). Il semble que les conditions climatiques (humidité importante, vent, coup de froid, etc.) jouent un rôle essentiel dans le déclenchement des symptômes. Contrairement à la myopathie induite par l'exercice, l'effort physique n'est pas responsable de la symptomatologie.

Les poulains et les jeunes chevaux apparaissent particulièrement sensibles.

Quelles sont les régions touchées ?

En Belgique, la majorité des cas de MA s'est déclarée en dessous du sillon Sambre-Meuse. En automne 2002, la MA a été confirmée chez 22 équidés (1 seul a survécu) et présumée chez 27 d'entre eux.

D'autres pays tels que la Suisse, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et depuis peu, la France sont également confrontés à ce syndrome.

Quand penser à une atteinte de MA ?

La MA sera présumée lorsque, chez un cheval séjournant la majeure partie du temps en prairie et n'ayant pas fourni d'exercice physique préalable, vous observez les symptômes suivants :

- faiblesse, raideur, difficulté ou refus de se déplacer

- le cheval est trouvé couché au pré et présente des difficultés ou une incapacité à se lever

- tremblements musculaires

- sudation localisée ou généralisée

- l'urine apparaît anormalement foncée

- le cheval semble respirer avec difficulté

- la température rectale est anormalement basse (< 37°C)

Que faire lorsque une atteinte de MA est probable ?

Lorsque les symptômes décrits au paragraphe précédent sont observés en tout ou en partie, appelez de toute urgence votre vétérinaire traitant qui pourra identifier les symptômes spécifiques de la MA (tachycardie et éventuellement, souffle(s) cardiaque(s), polypnée et/ou dyspnée, diathèse hémorragique, myoglobinurie, hypothermie, dysphagie avec éventuellement obstruction œsophagienne, distension de la vessie objectivée par fouiller rectal, etc. ; NB : tous les symptômes cités ne sont pas toujours présents).

Que faire en attendant votre vétérinaire ?

En attendant l'arrivée de votre vétérinaire, couvrez votre cheval si le temps est froid et essayez d'améliorer son confort ; prenez les mesures nécessaires pour le transporter en vue d'une hospitalisation éventuelle ; récoltez les urines et les matières fécales émises dans des récipients propres (l'analyse d'urine contribuera au diagnostic) et rentrez les autres chevaux en écurie lorsque cela est possible. Dans la négative, changez-les de pâture. Les sujets ayant pâturé dans une prairie où un cas de MA a été confirmé doivent être surveillés de façon intensive pendant, au minimum, 48 heures.

Comment soigner la MA ?

La cause de la maladie n'étant pas encore connue, seuls des médicaments visant à limiter la douleur et les lésions associées à la destruction des muscles peuvent être conseillés.

Comment être sûr que votre cheval souffre de MA ?

Le diagnostic définitif repose nécessairement sur l'autopsie (plus de 80% des chevaux souffrant de MA décèdent dans les 48 heures) grâce à l'identification de lésions histologiques typiques. Cette autopsie est primordiale car elle vous permettra de déterminer si votre prairie est à risque et donc, si la MA menace de se répéter sur cette prairie.

Quelles sont les mesures préventives ?

La meilleure mesure préventive consiste à garder les chevaux en écurie durant les périodes à risque (principalement, de mi-octobre à fin novembre et de mi-mars à mi-mai). L'apport d'un complément alimentaire et la présence d'un abri n'auraient pas d'effet protecteur. La MA ne présentant pas les caractéristiques d'une maladie contagieuse, aucune mesure sanitaire ne doit être envisagée.

Voila, il doit manquer quelques petites choses, mais j'ai déjà mis les principales, mais c'est déjà ça !
Voilou !
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptySam 16 Nov - 13:03

Aller ton post mérite un UP !!!! Merci sunny 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 10 Jan - 9:08

Bonjour, avez-vous des infos sur l(anémie ?
Mon cheval en a chaque hiver, alors il a des injections et un traitement à base de fer ..
J'aimerais pouvoir prévenir cela l'année prochaine et comprendre d'où cela peut provenir.

Merci d'avance Very Happy
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 10 Jan - 11:10

Merci pour le temps que tu as pris d'écrire ce récap Wink
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 10 Jan - 13:20

Two gibson a écrit:
Bonjour, avez-vous des infos sur l(anémie ?
Mon cheval en a chaque hiver, alors il a des injections et un traitement à base de fer ..
J'aimerais pouvoir prévenir cela l'année prochaine et comprendre d'où cela peut provenir.

Merci d'avance Very Happy

Ici, c'est un récap des maladies les plus courantes et pour retrouver facilement le sujet de l'anémie dans l'avenir, je ne peux que te suggérer fortement d'ouvrir un post spécifique où on pourra te donner toutes nos pistes  Very Happy 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 10 Jan - 17:48

ok Wink
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyMer 7 Mai - 14:33

Je recherche des infos sur la GBED, est ce que ça se soigne ou plutôt peut on soulager un cheval possèdant cette maladie qui en a développer les symptomes? Si on fait reproduire un cheval porteur sain donc n/Gb et un cheval n/n au Gb combien y a t'il de risque que le poulain soit aussi porteur? 50% ou 100%. J'ai bien compris que c'était une maladie héréditaire et que faire reroduire 2 porteurs sains peu faire avorter la jument ou avoir un poulain mort né à la mise bas. Un cheval porteur sain a quoi comme symptome si la maladie c'est déclanché? Si la maladie est déclaré chez le porteur sain, il y a combien de risque que son poulain, si il né porteur sain déclanche lui aussi la maladie???

Je sais sa fait beaucoup de question  Wink 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyMer 7 Mai - 18:27

Pareil que pour Two Gibson, ouvres un post spécifique sur la GBED ça évitera de le noyer dans un post "général" et de retrouver facilement les infos. Wink 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 8 Mai - 18:03

ok
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyJeu 8 Mai - 18:45

Gitan t'a devancée..  Very Happy 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 9 Mai - 9:05

Ah ben zut alors  lol!  Bon ben le principale c'est qu'il y ai un sujet sur cette maladie ;-)
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 9 Mai - 10:24

Bravo Etoile et merci, c'est complet.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 9 Mai - 10:28

Si tu as des infos complémentaires Izabel,faut pas hésiter,au contraire ce n'est que bénéfique.
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL EmptyVen 9 Mai - 16:34

Oui merci si j'entend des info complémentaire je les rajouterai  Wink 
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MessageSujet: Re: LES MALADIES DU CHEVAL   LES MALADIES DU CHEVAL Empty

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